Le candidat à la présidence française, Emmanuel Macron, a terminé le deuxième tour de l'élection présidentielle de la France, bien qu'il ne fasse pas partie des deux principaux partis politiques français.
Au début de la campagne, le candidat «centrist» qui se décrivait comme étant ni gauche ni droit n'était un mystère pour les électeurs. Il était un nouveau visage, il avait une nouvelle fête, et il était différent de ce qu'ils étaient habitués. Mais maintenant qu'il va à l'encontre de l'extrême droite nationaliste Marine Le Pen, Macron est venu fort sur certaines questions importantes, comme ses idées pour stimuler l'économie et la place de la France dans l'Union européenne. Fortement contre l'idée "Frexit" de Le Pen et précédemment ministre des finances sous l'actuel président François Hollande, Macron a une stratégie économique plus néolibérale. Il ne veut pas quitter l'UE. Dans une interview, il a fait un excellent anglais (pas sa première fois en montrant ses compétences en anglais), Macron a déclaré que Post-Brexit, il serait "difficile pour le gouvernement britannique". Le président américain Donald Trump a déclaré à Emmanuel Macron jeudi qu'il avait été son favori pour gagner l'élection présidentielle française et que les médias rapportaient qu'il soutenait le leader d'extrême droite Marine Le Pen étaient faux, a déclaré un responsable français. "Vous étiez mon gars", a déclaré Trump au nouveau président français lorsqu'il s'est réuni pour la première fois à Bruxelles, a déclaré le responsable de la présidence française. Trump a dit à Macron que, contrairement aux rapports médiatiques de la course, il n'avait pas soutenu Le Pen et avait suivi la campagne de Macron avec une grande attention, a déclaré la source, ajoutant que les deux dirigeants avaient parlé en anglais. Le porte-parole de la Maison Blanche, Sean Spicer, a déclaré qu'il ne savait pas si Trump avait dit cela à Macron, mais a noté que les deux hommes avaient une bonne chimie. Centrist Macron a battu le leader du Front national Le Pen lors d'un scrutin du 7 mai après une campagne acharnée qui a opposé les points de vue pro-européens de Macron contre la position anti-mondialisation, anti-UE et anti-immigration de Le Pen. Après qu'un policier ait été tué à Paris en avril par un suspect militant islamiste, Trump a déclaré à l'Associated Press qu'il pensait que l'attaque "aiderait probablement" Le Pen parce qu'elle était le candidat qui est "le plus fort sur les frontières". Cependant, il a déclaré qu'il n'acceptait pas explicitement Le Pen. Le Pen a déclaré qu'elle était la mieux placée pour défendre les intérêts de la France dans ce qu'elle appelait le «nouveau monde» de Trump et le Vladimir Poutine Des parties de la plate-forme du candidat centriste, décrites dans un document d'environ 30 pages, ont été publiées par le quotidien français Le Parisien. L'ancien ministre de l'Économie a fait de la lutte contre le népotisme au gouvernement l'un des aspects clés de sa campagne. L'homme de 39 ans a proposé de rendre illégal pour les députés d'employer des membres de la famille en tant qu'assistants parlementaires. Cette mesure vient en tant que candidat à la droite de droite François Fillon fait face à des accusations selon lesquelles sa femme et ses enfants ont eu des «faux emplois» en tant qu'assistants parlementaires. L'allégation est qu'ils ont été payés avec de l'argent public pour le travail qu'ils n'ont pas fait. Macron a révélé son plan un jour après que Fillon a été accusé dans le scandale. Un autre aspect de son plan de lutte contre les conflits d'intérêts propose d'interdire aux députés (députés) de servir de consultants et de siéger aux conseils d'entreprises. Emploi Macron espère s'attaquer au chômage de la France en créant un programme universel de prestations de chômage. Les agriculteurs, les travailleurs indépendants et les employés qui ont quitté leur emploi seraient tous admissibles à des prestations. Dans le cadre du plan, cependant, les personnes au chômage ne seraient pas en mesure de recevoir des prestations si elles refusent plus de deux offres d'emploi, pourvu que les offres proposent de commencer des salaires qui ne représentent pas plus de 20% de leur salaire précédent. Cela signifie qu'un individu au chômage qui auparavant gagnait 1 000 euros par mois devrait accepter une deuxième offre d'emploi payant 800 euros par mois. En cas de refus, l'individu resterait au chômage mais ne serait plus admissible aux prestations de chômage. Il a également appelé à de nouveaux programmes de formation gouvernementale. Retraite Macron a promis de ne pas modifier l'âge de la retraite de 62 ans. Il a également demandé que les règles de la retraite universelle s'appliquent également à tous, aux fonctionnaires et aux employés du secteur privé, quelle que soit la catégorie de travail. Éducation L'ancien ministre de l'économie a déclaré qu'il voulait se concentrer sur l'éducation primaire, en réduisant la taille des classes dans les écoles primaires et en recrutant plus d'enseignants. Dans le cadre du plan, les administrateurs scolaires et les enseignants auraient plus de choix dans la mise en œuvre des méthodes d'enseignement qu'ils jugent les plus efficaces.
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Et voila ! Depuis le 7 mai, un nouveau président de la république a été élu.
Emmanuel Macron, celui qu'on ne connaissait pas il y a encore 3 ans est devenu, à seulement 39 ans, le nouveau visage de la France. Et autant vous dire que les classes politiques et partis mis en place ont fais mine basse depuis leurs échecs total... Après avoir créé son Parti "En Marche ! ", Emmanuel Macron a su profiter des nombreuses opportunités présente lors de cette élection. Le Partie Socialiste en berne, Les Républicains sous les coups de la justice, celui qui veut regrouper le meilleur des deux à eu un couloir devant lui à 4 mois des résultats finaux. Et maintenant, alors que le Front National a échoué lamentablement ( à la suite d'un débat dénué d’intérêt, dû à une candidate dans l'attaque perpétuelle ), les élections législatives vont bientôt commencer. Et la débandade des partis continue sa course. Ne voulant même pas donner une chance à Monsieur Macron. Elle est là, la grossière erreur de certain. Voulant voter contre, pour voter contre. Pendant toute cette campagne, sur Twitter, et les réseaux sociaux, bon nombre de moralisateur montrer leur attachement a " Voter pour qui vous voulez, ne soyez pas contraint à voter contre.." et autre belle morale, mais n'ayant pas le résultat voulu, évidemment, le discours n'est plus le même. "Faites Barrages à la majorité". Et on les verras, dans 5 ans, osez dire que le gouvernement n'a rien fait... Et de même, lorsqu'on ose dire que l'on est pour Monsieur Macron, les insultes partent dans tout les sens : " Capitaliste", "Mouton", et j'en passe. C'est là toute la nuance entre ces personnes, et l'envie de faire avancer les choses. Je le dit, clairement, les idées de monsieur Macron m'ont plu. L'idée de prendre le meilleur des deux mondes, entre Libéral et Social, était un rêve que j'avais, car on ne peut pas compter sur l'un ou sur l'autre. Les deux ensembles forment l'essence même de ce qu'est la France. Car oui, la France, c'est aussi ça, c'est pouvoir débattre sans insulter, sans prendre les gens de haut, ou sans les prendre tout simplement pour des cons. Et je pense que vous comprenez ce que je veux dire, c'est en débattant avec des personnes différentes que l'on avance. Pas en débattant avec des gens du même bords, ce serai beaucoup trop facile, avec un penchant, en plus, pour l'inceste. Tout ça pour vous dire que oui, voter pour qui vous voulez, que ce soit de l'extreme droite à l'extreme gauche, mais bon sang, ouvrez vous autres, débattez, partager, et changer d'avis. C'est ça qui nous fera avancer. Pas le matraquage Négatif. A vous les studios ! On nous mentLes politiques nous mentent, pendant et après les élections. La raison très simple qui pourrait expliquer ce comportement est le pouvoir. On donne tellement d'avantages à nos élus, comment ne pas avoir envie de faire de politique ? Argent, immunités, influence, telles sont les récompenses pour faire valoir sa voix, et représenter le peuple. Mais pour cela le chemin est long. Les politiciens sont obligés de tracer leurs routes, de se battre pour atteindre la position qui leur permettra de s'exprimer et de se faire entendre. Or, pour gravir les échelons et gagner en puissance, il faut des personnes sur lesquelles s'appuyer. Jusque-là rien de bien incroyable, c'est le principe des familles politiques et des camps électoraux. Mais que se passe t'il lorsqu'un autre facteur rentre en jeu ? Les lobbys.Ces lobbys, ces "groupes de pression", n'ont qu'un seul objectif : rallier à leur cause les politiques. Ces derniers, en retour, s'engageront à défendre le groupe (industriel, agricole, pharmaceutique...), en essayant d'abroger/d'empêcher le passage d'une loi, ou au contraire en essayant d'orienter la rédaction d'un texte dans le sens qui convient au lobby. Mais pourquoi faire ceci ? Pour de l'argent et/ou plus de pouvoir. C'est là qu'est tout le dilemne. Vers un autre modèle politique ?Dans les pays du Nord de l'Europe, pourtant, les élus ont bien plus de respect envers leurs concitoyens et leur pays. Alors quelle est la solution ? |
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